La crypte St Martial.

  
En élévation, il ne reste plus rien des bâtiments monastiques qui étaient groupés autour des cloîtres et situés jusqu’au XIIè.S. au sud de la Grande Basilique du Sauveur puis au Nord à partir du XIIIè.S. (réfectoire, cuisine, celliers, dortoirs, salle capitulaire, bibliothèque et à l’écart hôtellerie, aumônerie, infirmerie, hôpital, maison abbatiale, chapelles, oratoires, le tout clos de murs.)
Le plan de la ville conserve néanmoins nettement dessiné par ses rues, le contour du bourg St-Martial qui se trouve aujourd’hui au cœur de la ville.
L’abbaye s’élevait à 500 mètres de la vieille cité épiscopale à l’emplacement actuel de la Place de la République, de la rue St Martial, de la Place Fournier jusque vers la rue de la courtine. La route romaine avait un tracé qui suivait à peu près celui de l’avenue des Bénédictins et de la rue du clocher.
Le plan au sol des vestiges qui subsistent aujourd’hui dans la crypte a été tracé sur le dallage de l’actuelle place de la République (à observer avant de visiter la crypte). Sur la même place, à échelle réduite, a été reproduit en mosaïque un plan du XVIIIè.S. représentant les églises du groupe monastique : St Benoît et St Pierre orientées selon la route romaine, la basilique du Sauveur orientée selon la tradition religieuse.

 

La crypte.

La visite des parties subsistantes concerne : la chapelle funéraire, la nef, le chœur, le chevet des églises de St Pierre du Sépulcre et Saint Benoît, de la Basilique, quelques éléments du petit cloître (au Nord de St Benoît, reconstruite en 1224 après un incendie et qui communiquait avec la basilique).
La basilique du Sauveur fut entièrement détruite au XVIIIè.S. et ses fondations disparurent lors de la construction du théâtre Berlioz de 1836 à 1838.

 

La chapelle de "l’ange gardien".
Aménagée en 1206 pour faciliter la circulation et diriger la foule des pèlerins vers la basilique funéraire Saint-Pierre du Sépulcre. Subsiste à l’angle Nord-Ouest un départ de voûte d’ogive et à l’Ouest la base d’une baie ouverte sur une maçonnerie gallo-romaine massive.

 
L’hypogée de St Martial. (une salle, une chambre ou un monument souterrain)
Dans la salle suivante rectangulaire se trouve l’hypogée de St Martial, noyau du cimetière paléochrétien, puis de l’abbaye. L’hypogée a été construit sur un emplacement urbanisé et apparemment aucun cimetière à incinération ne se serait trouvé en ce lieu au cours des trois premiers siècles comme on le supposait précédemment . Ce n’est qu’après le repli de la ville, qui a entraîné la ruine du quartier, devenu suburbain qu’une nécropole paléochrétienne s’est développée, selon un processus classique autour de l’hypogée.
Ce serait donc le tombeau de St Martial au IVè.S. qui serait à l’origine de la destination cimétériale du quartier.
 
Les sépultures.
En 1960, une vaste fosse profonde a été retrouvée contenant deux sarcophages parallèles en granit vides avec leurs couvercles épais et plats basculés sur le côté :
  • ·         L’un étroit (2,88 m de long sur 0,60 cm de large et haut de 0,65m) situé contre la paroi Nord considéré comme celui de St Martial.
  • ·         L’autre plus large (2,60 m de long sur 1,03 m de large et 0,74 m de hauteur) parallèle au premier, considéré comme étant celui des compagnons de Martial : Alpinien et Austriclinien, inhumés ensemble près de leur Maître.

 

Le plan parallélépipédique des sarcophages est en harmonie avec les usages funéraires du IVè.S. et d’autres sarcophages de cette époque, en pierre, en plomb ou en bois ont également été retrouvés.
La fosse funéraire se trouvait elle-même dans l’angle Nord-Est d’une petite salle semi-souterraine appelée Memoria qui fut l’objet très tôt, d’une fréquentation fervente.
Cette memoria était voûtée, d’où son appellation de crypta. Il est possible qu’elle ait comportée une chapelle à galerie haute (solarium) percée d’une fenestella (appelée fenêtre de St Martial), près de laquelle les malades se faisaient porter dans l’espoir d’être guéris et près de laquelle Charles le Simple resta en prière toute une nuit au XIè.S.

 

Au XVIIè, la hauteur sous voûte était de 3m24, on y descendait par un escalier de 11 degrés, la salle était alors semi-souterraine.
A la suite d’une translation précoce les sarcophages ont été vidés et leur contenu a été déposé dans deux autres sarcophages que Grégoire de Tours auraient vus.
C’est dans l’angle de cette même salle que l’on aménagea ultérieurement un nouveau tombeau pour Martial, qui reposait sur un béton de tuileau rouge, encadré sur les deux côtés par une mosaïque polychrome, dont on a retrouvé un fragment à sujet funéraire représentant deux oiseaux buvant dans une coupe, symbole d’immortalité. La mosaïque ne semble pas postérieure au IXè.S.

 

C’est au cours de ce siècle que Louis le Débonnaire, Empereur et roi d’Aquitaine, fit mettre les restes de Saint-Martial dans un reliquaire d’or placé sur l’autel majeur de la nouvelle Basilique voisine, consacrée au Sauveur.
La tradition raconte, que suite à cette translation en 833, le Saint, mécontent d’être troublé dans son repos funèbre, déclencha sur l’Aquitaine inondations et calamités guerrières. Après avoir jeûné les moines comprirent que le Saint n’avait pas agréé ce changement et qu’il désirait retourner à son sépulcre. Les restes de Martial furent alors rapportés dans son ancien sépulcre et tout rentra dans l’ordre. Ce reliquaire fut volé par Henri II Plantagenêt en 1183.

 

Le sanctuaire et le sarcophage de Tève-Le-Duc.
La salle suivante ou « sanctuaire » plus large (6,15m) et moins profonde (3,25m) était un peu plus haute (3,96m) et voutée en berceau. Les salles N°2 et 3 étaient séparées par une « balustrade » fixée de chaque côté à deux colonnes polygonales encore en place. Le dallage en serpentine (pierre un peu foncée), refait en 1786, a été partiellement conservé.
Deux baies s’ouvrant vers le haut fournissaient un éclairage médiocre. Le sanctuaire a été édifié contre un énorme massif bétonné gallo-romain du IIè.S.
Des cachettes avaient été aménagées au Nord tardivement mais la porte de pierre y donnant accès ne protégeait plus que des cavités sans mobilier lorsqu’elle a été découverte.
En 1963, on a replacé au milieu du « sanctuaire » l’énorme sarcophage de granit de forme parallélépipédique et aux dimensions colossales dit de Tève-Le-Duc (2,74m de long sur 1,34m de large sur 0,78m de haut).
Selon les miracula de St Martial, Tève-Le-Duc désigné sous le nom de Duc Etienne et de « prince des Gaules » se serait converti au christianisme après avoir vu sa fiancée Valérie, qu’il venait de faire décapiter parce qu’elle refusait de l’épouser pour se consacrer à Dieu – ramasser sa tête et la porter en offrande à Saint Martial durant une messe.

 

 
Sainte Valérie n’apparaît dans la littérature hagiographique qu’à partir du IXè.S. (Vita Antiquior), et semble inconnue donc de Grégoire de Tours.
Elle est cependant considérée dans la légende comme une riche dame des temps mérovingiens, bienfaitrice du sanctuaire, inhumée près de Martial. Son tombeau serait situé dans une sorte de loculus s’ouvrant sur la crypte.

 

 
Sainte Valérie.
Sa mère s'appelait Suzanne, son fiancé le Duc Etienne.
Cette noble et riche demoiselle de Limoges, aurait reçu Saint Martial dans sa maison à son arrivée dans cette ville et aurait été baptisée par lui. Elle s'engagea à demeurer vierge sa vie durant pour se consacrer à Dieu ; apprenant cela, son fiancé, le duc Etienne, qui gouvernait toute l'Aquitaine, de l'Océan au Rhône et des Pyrénées jusqu'à la Loire, la condamna à la décollation. Une fois décapitée dans une forêt, elle porta sa tête entre les mains jusqu'à saint Martial, et la trace de ses pas apparut dans la pierre.
C'est vers l'an 857 que l'abbaye St Martial fonda un monastère à Chambon-Sainte-Valérie pour honorer les reliques de Sainte Valérie qu'ils détenaient
Le sarcophage se trouvait à l’origine dans la 3ème petite salle, elle devait communiquer avec la salle de St Martial.
 
La basilique St Pierre du Sépulcre.
Un escalier et la chapelle de « l’ange » furent aménagés au XIIIè.S. pour permettre la circulation des pèlerins.
L’église St Pierre du Sépulcre était accolée à la Basilique du Sauveur, mais à un niveau inférieur et avait une orientation différente (vue du plan mosaïque de la place), calquée sur le plan de la ville gallo-romaine.
Comme elle était en léger contrebas, on y accédait par un emmarchement aménagé dans la bras nord du transept, ce qui lui valu dès le Moyen-Age d’être appelé « la basse-église ».
A l’extrémité occidentale et dans l’axe de la nef se trouvait la crypte St Martial dans laquelle on descendait par 11 marches. Cette basilique funéraire fut sans doute fondée par l’évêque Rorice durant la première moitié du VIè.S., et c’est probablement cette basilique que connut Grégoire de Tours.
Au Xè.S , l’abbé Gui en refit faire les voûtes, de nouvelles transformations eurent lieu à l’époque gothique puis en 1711. Elle fut détruite à la fin du XVIIIè.S. avec ce qui subsistait de l’abbaye.
 
Seules sont visibles les parties basses de la nef (sous le niveau de circulation) et l’élévation du chœur. Le plan de l’église est simple : une nef terminée par une abside circulaire inscrite dans un chevet plat. Le sous-sol contenant de nombreuses sépultures : fosses avec sarcophages en plomb (IVè.S.), sarcophages monolithiques mérovingiens et médiévaux en pierres différentes : calcaire, arkose, impactite, et granit. La plupart ont été déplacés pour permettre les fouilles.
 
La chapelle St Benoît.
Les moins y célébraient l’office de nuit, et elle communiquait directement avec le cloître de l’infirmerie. Elle est accolée à St Pierre du Sépulcre, leurs fondations sont peut-être contemporaines.
Le plan des ruines pourraient évoquer une basilique à trois nefs, St Pierre correspondrait alors à la nef centrale plus longue que les nefs latérales.
St Benoît n’est mentionnée qu’à partir du XIè.S. dans les textes, elle aurait été reconstruite suite à un incendie en 1224 et restaurée en 1711.
La nef est de plan rectangulaire (traversée par la passerelle de 1973) est prolongée par une abside pentagonale percée d’une baie ébrasée. Elle a remplacée une abside semi-circulaire antérieure. Il ne reste du chœur du XIIIè.S. que la partie inférieure et la base de colonnettes à section trifoliée.
On a retrouvé dans le sol des sépultures paléochrétiennes en dalles de granit et fond de briques et des sépultures d’enfants.
Il était fréquent que les gens de toute condition soient inhumées le plus près possible des lieux saints pour bénéficier de leur protection. C’est pourquoi les cimetières touchaient souvent les églises.
Le cloître de l’infirmerie ou « petit cloître ».
Edifié par Pierre du Barri, abbé de 1160 à 1174, on a retrouvé des vestiges d’installations artisanales ayant précédé l’abbaye : notamment des oxydes métalliques contenant des fragments de cuivre ou de bronze.
Le site dans son ensemble révèle qu’il a été pendant plusieurs siècles un lieu de sépultures (plusieurs centaines ont été retrouvées) puisque l’on retrouve des traces d’ensevelissement jusqu’au XVIIIè.S.
 
Les sarcophages.
Contemporains des grandes cuves monolithes de Martial, Alpinien, Austriclinien et Tève le Duc, aux angles droits, enfouis également dans de grandes fosses profondes, 5 autres sarcophages en plomb ont été mis au jour, avec des couvercles plats s’emboîtant dans les cuves, sans aucun décor. Les cuves en plomb étaient calées sur les côtés par des galets, et il est probable qu’elles aient été protégées par des coffres en bois disparus aujourd’hui.
De nombreux cercueils en bois, plus modestes ont également été retrouvés, les restes osseux qu’ils contenaient étaient assez bien conservés.
D’autres tombes aux parois latérales faites de grandes dalles de terre cuite ont été trouvées, les fonds provenaient de bâtiments antérieurs ruinés, notamment d’hypocaustes, on a décelé des traces de mortier l’attestant.
D’autres tombes construites à l’aide de tuiles à rebord, comme celle d’un enfant de deux ans, semblent datées également pour certaines de l’origine de la nécropole paléochrétienne. Leur forme était rectangulaire.
On constate que par la suite, le plan des tombes se fera trapézoïdale, plus étroit aux pieds qu’à la tête, mais les tombes d’enfant en briques ou en tuiles à rebord se perpétueront longtemps, bien après la disparition de celles des adultes.
A l’époque mérovingienne, les sarcophages monolithiques se multiplient. La plupart ont une cuve de forme trapézoïdale, en calcaire, recouverte d’un couvercle légèrement bombé.
 
Ces sarcophages qui proviennent de Charente sont parvenus à Limoges terminés et prêts à l’emploi. Leur forme va évoluer à travers le temps : les angles extérieurs seront abattus du côté de la tête.

 

Puis viendront des sarcophages de la région de Chassenon, en impactite, une roche légère et poreuse qui doit son origine à la chute, au cours de lère secondaire, d’une gigantesque météorite, qui a entraîné la fusion du sol sur une zone de plusieurs kilomètres de diamètre. La carrière de Chassenon se trouvait sur la route reliant Saintes à Lyon et était donc de l’époque mérovingienne au Moyen-Age un centre de fabrication régional de sarcophages.

 

Il a également été trouvé une tombe taillée dans un tronc d’arbre brut, elle est surement un témoignage unique dans la nécropole de St Martial, d’une influence barbare de type protohistorique.
Aux sarcophages en impactite font suite les sarcophages monolithes élaborés avec soin en arkose (une roche feldspathique) que l’on trouve dans le Nord-Est de la Haute-Vienne et vers Confolens. Cette pierre, facile à travailler, permet de créer des détails.
La cuve, toujours de forme trapézoïdale, présente à l’intérieur l’amorce d’une banquette céphalique, de deux à trois centimètres de haut de part et d’autre de la tête du défunt. Ces cuves possèdent souvent d’un bourrelet d’encastrement qui s’emboîte parfaitement dans une saignée pratiquée sous le couvercle, dans un soucis d’étanchéité maximum. On peut voir un des sarcophages gravé d’une belle croix.
(Ce système de fermeture rappelle celui de la plupart des coffres de pierre gallo-romains contenant des urnes funéraires très nombreux en Limousin.)

 

Tous les sarcophages en arkose retrouvés dans le chœur de St Pierre du Sépulcre convergent vers le maître-autel qui recouvre un grand sarcophage calcaire sensé abriter le corps glorieux de St Pierre lui-même. Le sarcophage ne renfermait ni ossement, ni mobilier, ni débris.

 

La cavité céphalique va peu à peu constituer une des caractéristiques de l’évolution des sarcophages, la cuve deviendra elle-même peut à peu trapézoïdale à l’extérieur également. Les parois sont généralement épaisses uniformément de 10 à 12 cm.

 

On a retrouvé également plusieurs dizaines de tombes en coffre de plan naviforme, semblables à celles que l’on retrouve dans de nombreux vieux cimetières de Limoges. Les parois latérales sont bâties en murettes de petites briques, maçonnées ou non, les petits côtés sont fermés par des dalles de terre cuite, elles se situaient dans le secteur du petit cloître de l’infirmerie.
Ces sépultures disparaissent après le XIVè.S. pour laisser place à des cercueils en bois cloués.
 
L’inhumation en sarcophage a coexisté à partir du XIè.S. au plus tard, avec l’ensevelissement en pleine terre marqué, au niveau du sol par une dalle funéraire plate. Ces pierres tombales destinées à être apparentes, sont presque toujours ornées et portent par fois le nom du défunt. La plus ancienne est celle du chantre Roger, mort le 6 des calendes de mai (le 26 avril) 1025, visible au musée des Beaux Arts.
 
A toutes les époques, on a inhumé les morts en pleine terre sans autre protection qu’un linceul, celui-ci n’est discernable dans le sol que par la présence d’épingles.
Les corps des plus pauvres, ou des membres d’une Confrérie comme celle de St Martial, ont été rassemblés dans des ossuaires. Un caveau collectif a été concédé à la Confrérie en 1680, il se trouvait dans la nef de St Benoît.
Le mobilier funéraire.
La majorité des tombes ne comprenait aucun mobilier, mais celui-ci a peut-être été pillé au cours des siècles. De nombreux sarcophages ont en effet été réutilisés et il n’est pas rare de trouver les restes de plusieurs individus. (cinq, six voire même 9 squelettes) complets ou partiels, réunis dans une même cuve.
Il a cependant été retrouvé :
  • Un sarcophage mérovingien en impactite de forme trapézoïdale, aligné parallèlement au mur sud de la nef de l’église St Pierre, sous l’emmarchement qui la reliait au Sauveur. Le squelette était réduit en poussière, au niveau de chaque épaule se trouvait une épingle en bronze, ce qui suggère le port d’un vêtement ou d’un suaire. Une bague en or ornait la main gauche du défunt. La monture daterait de la fin du VIè.S. et serait un travail byzantin. On a retrouvé quatre clous en fer près des pieds et sur le corps était posé un long bâton très droit, en fait une branche de coudrier.
  • Des baguettes semblables ont été retrouvées dans des sépultures mérovingiennes, elles avaient paraît-il des vertus prophylactiques. On retrouve cette référence dans le folklore, le coudrier aurait le pouvoir de détruire les animaux nuisibles comme le serpent, de conjurer les maladies et d’éloigner les mauvais esprits.
  •  
  • Un deuxième sarcophage en impactite proviendrait elle-aussi de la nef de St Pierre du Sépulcre, trapézoïdale également, les angles abattus autour de la tête avec une cavité céphalique. Le squelette intérieur était en poussière et un crâne d’une autre inhumation était à ses pieds.
  • Une bague en or gravée du nom d’EMA/NVEL a été retrouvée dans cette tombe, une ceinture de cuir large de 8 cm et tressée de fils d’or (nom biblique signifiant « Dieu est avec nous » et désignant le Messie selon le prophète Isaïe). Cet anneau daterait du Xè.S ; au plus tard.
  • Un autre sarcophage en impactite contenant des restes humains contenaient des fils d’or entrecroisés, laissant supposer la présence d’un coussin sous la tête du défunt.
  • Une inscription, découverte en 1791 dans le tombeau de St Martial est visible au Musée des Beaux Arts.
  • UHIC REQVIESCIT sur la face antérieure de la plaquette, MARTIALIS APOSTOLVS XU I.
  • On suppose que l’auteur de l’inscription pourrait être Adémar de Chabannes qui aurait fait placer cette plaquette en marbre dans le tombeau lors du concile de 1031, reconnaissant l’apostolicité de Martial.
  • Une grande dalle de marbre d’époque gallo-romaine portant un fragment d’inscription gravée et difficilement lisible.
  • Des agrafes, un anneau en argent, une chaînette, un cabochon en améthyste, des fragments de calcaire sculptés, un grand chapiteau roman à quatre étages de palmettes provenant de la basilique du Sauveur, onze fragments de moulures d’ogives provenant de la voûte de St Benoît…, de nombreuses pièces de monnaies en bronze, d’un sou d’or…
 

 


Photo Gallery: L'abbaye et la crypte St Martial

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